L’Aston DB12 Goldfinger Edition
James Bond est absent des écrans de cinéma depuis 2021 mais les affaires continuent entre Aston Martin et les producteurs de la fameuse saga avec cette série limitée DB12 Goldfinger Edition.
Crédit photo : @DR
Après les 25 exemplaires de la DB5 Goldfinger Continuation à 3,5 millions d’euros, la marque anglaise vient d’annoncer une série limitée à 60 exemplaires de sa DB12 estampillée Goldfinger Edition. Toujours équipé du V8 biturbo de 4 litres et 680 chevaux, ce modèle célèbre les 60 ans de la sortie, en 1964, du troisième James Bond de la série, Goldfinger, dans lequel Sean Connery conduisait une DB5 gadgétisée entrée dans la légende. Cette DB12 en reprend la teinte, Silver Birch, tout en bénéficiant d’une brochette d’options spécifiques telles que les jantes de 21 pouces, les étriers noirs, les sièges en cuir évoquant ceux de la DB5 avec un motif Prince de Galles (similaire au costume porté par Connery dans le film) et quelques commandes traitées à l’or 18 carats. Et pour les véritables aficionados de 007, un huit de cœur est brodé sur le pare-soleil, subtile référence à un moment clé d’une partie de carte se déroulant au début du film… Les happy fews qui s’offriront cette DB12 (disponible au deuxième trimestre 2025) hériteront de quelques goodies très exclusifs, de la bâche sur-mesure au luxueux coffret de présentation des clés, en passant par le Champagne Bollinger millésimé 2007. Sans oublier, cherry on the cake, un morceau de pellicule 35 mm du film Goldfinger dans lequel la fameuse DB5 s’engage dans la Furka Pass pour une séquence mémorable.
Si le logo « Q » en chrome poli présent sur cette DB12 est la signature du service de personnalisation d’Aston Martin, c’est également le nom de code du Major Boothroyd qui, dès le premier James Bond en 1962, fournissait à l’agent secret ses fabuleux gadgets. C’est dire les liens qui unissent 007 à sa marque fétiche même si aucun projet de nouveau film ne semble poindre à l’horizon. En attendant, la DB12 Goldfinger Edition fait revivre ce glorieux passé